Une femme qui a couché avec plus de 100 hommes mariés affirme qu’il existe un «gène de l’infidélité»

Une femme britannique d’une quarantaine d’années qui a couché avec plus de 100 hommes mariés affirme qu’un «gène de la tromperie» pourrait exister et que les gens dont les parents étaient infidèles sont plus enclins à tromper leurs partenaires respectifs.

 Gweneth Lee, une femme anglaise de 47 ans, vit à Chelsea dans l’ouest de Londres. Cette dernière affirme qu’elle a couché avec plus de 100 hommes mariés dans sa vie et que selon elle, il existerait un «gène de la tromperie». En d’autres termes, les personnes qui commettent des adultères auraient ça dans leurs gènes respectifs. Elle appuie sa théorie sur la théorie que les enfants de personnes infidèles ont bien moins peur de décevoir leurs parents dans ce domaine puisqu’il s’agit d’un phénomène duquel ils sont bien au courant.

Pour illustrer sa théorie, elle s’est appuyée sur une de ses expériences. «L’un des hommes que je voyais était un riche banquier de Cambridge dont la mère a été mariée 3 fois. Il a grandi en la voyant sortir avec différents hommes et ça a influencé son attitude lorsqu’il est devenu plus vieux. D’ailleurs, sa mère est au courant qu’il trompe sa femme, mais c’est un secret qu’ils gardent entre eux». Sa mère a d’ailleurs expliqué qu’elle ne pouvait rien dire en raison de la manière dont elle avait agi dans le passé.

Elle a pris un autre exemple d’un autre homme qu’elle fréquente. «Ses parents ont été infidèles pendant qu’il était à l’université et depuis qu’il est marié, il n’arrive pas à rester fidèle à sa femme. Sa femme l’a aussi trompé et ses parents aussi étaient infidèles. J’imagine que la tromperie attire la tromperie».

Deux histoires consternantes qui trouvent un certain écho dans une récente étude. En effet, cette dernière explique que 32% des femmes trompent leur mari parce que leur mère le faisait dans le passé. Du côté des hommes, 52% des hommes trompent leur femme parce que leur père trompait leur mère. De là à dire qu’il y a un «gène de la tromperie», c’est une tout autre histoire.

Source: Mirror