Une femme Nigériane meurt lors de rapports sexuels après que son amant ait augmenté la taille de son pénis

A Ibadan, au Nigéria, un homme de 50 ans se retrouve poursuivi pour le meurtre de sa petite amie de 48 ans. La défunte a saigné à mort pendant que son amant lui faisait farouchement l’amour après qu’il ait consommé une concoction à base de plantes pour augmenter la taille de son pénis.

Alors qu’il s’apprêtait à faire l’amour à son amante, Sadiat Adejuwon, âgée de 48 ans, Fatai Busari a décidé de boire une infusion à base de plantes dans le but d’optimiser sa performance au lit et faire monter sa dulcinée au septième ciel.

Seulement, il était loin de se douter que cette décision, bien qu’elle soit venue d’une bonne intention, aura raison de sa petite amie.

Les tourtereaux, tous deux agents de nettoyage, se sont glissés sous les draps et ont commencé à faire l’amour avec une passion brûlante. Jusqu’ici, tout se passait comme prévu. Toutefois, Fatai a soudainement remarqué une quantité inquiétante de sang couler de l’entrejambe de sa partenaire.

Paniqué à la vue du sang, le cinquantenaire a compris que quelque chose n’allait pas chez sa petite amie, mais il n’a pas su quoi faire.

Sadiat n’a malheureusement pas pu s’en sortir. Elle s’est vidée de son sang et a rendu son dernier souffle sur place. Ce n’est que lorsque son amante est devenue inconsciente que l’homme de 50 ans a alerté les secours.

Suite à l’incident survenu avec sa petite amie, Fatai se retrouve aujourd’hui accusé du meurtre de cette dernière.

Le procureur a expliqué l’histoire du couple au tribunal d’instance lors de son audience :

“Busari et la défunte travaillaient ensemble comme agents publics de propreté qui nettoyaient la rue, et ils sortaient ensemble”, a-t-il raconté.

Il a également confirmé que le cinquantenaire avait bel et bien consommé une concoction visant à agrandir la taille de son pénis :

“Le jour fatidique venu, Busari a bu une concoction à base de plantes pour booster sa masculinité avant de coucher avec elle. Ce n’est que plus tard qu’il a réalisé que quelque chose n’allait pas lorsqu’il a remarqué que du sang coulait de la zone intime de sa partenaire”, a-t-il poursuivi.

Le procureur a notamment dénoncé le fait que Fatai n’ait pas appelé les secours tout de suite :

“Elle est ensuite morte sur les lieux, et a lancé l’alarme”, a-t-il conclu.

Se basant sur ces faits, le procureur a affirmé au tribunal que les actions de Fatai Busari constituaient une violation de la section 316 et étaient donc punissables selon la section 319 du code pénal, Cap 38, Vol. II, Lois de l’Etat d’Oyo, 2000.

Fatai Busari a plaidé non coupable face aux accusations de meurtre de sa petite amie Sadiat Adejuwon. S’il est reconnu coupable, il risque d’être à son tour exécuté.

Source: Daily Mail